Entre 1921 et 1927, Malraux publie cinq fragments censés appartenir à l’un de ses textes «farfelus» les plus méconnus : Ecrit pour une idole à trompe. C’est que jamais ce texte ne sera achevé ni même véritablement composé : alors même qu’ils se chevauchent à deux reprises, les cinq textes ne seront jamais assemblés.
«Nous avons salué des idoles à trompe» (Baudelaire)
Schéma d’organisation des textes composant l’ouvrage ébauché et inachevé intitulé Ecrit pour un idole à trompe.
Source :
Claude Pillet, Dix Mille Textes pour André Malraux, bibliographie gravée sur cdrom, annexe de l’ouvrage Le sens ou la mort, essai sur «Le Miroir des limbes» d’André Malraux, Berne – Berlin – Oxford – New York, Peter Lang, 2010, p. 497.
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