7 mai 2010 • A la Galerie Gimpel Müller (Paris), des poèmes sur Louise de Vilmorin et Vincent Malraux

 
«J’ai fait souffrir parce que j’aimais
Mais je souffrirais qu’on ne m’aime plus»

Glané sur le net, l’enregistrement d’un délicieux poème de Karin Müller «Louise for ever (Louise de Vilmorin)», chanté par Enikö Szilágyi, accompagnée au piano par Betsy Schlesinger sur une musique d’Enikö Szilágyi et de Karin Müller.

<http://www.youtube.com/watch?v=eDEKgUZL-co>

Une autre Louise, Louise Colet, destinataire d’une «Lettre imaginaire de Flaubert à Louise», écrite par Karin Müller. Pour visionner la présentation de ce texte par Charles Gonzalès, récitant, et Laurent Grynszpan au piano :

<http://www.youtube.com/watch?v=MkVpNGrr89I>

 

Louise de Vilmorin en 1955

Louise de Vilmorin en 1955, par Cecil Beaton

 

Un troisième texte de Karin Müller, «Vincent», en hommage à Vincent Malraux (1943-1961), lu par Charles Gonzalès, accompagné par une improvisation au piano par Laurent Grynszpan. Extrêmement émouvant.

«L’enfant non désiré, si mal aimé, aura une belle destinée […] Il vivra avec Clara, l’histoire ainsi recommencera.
Mais il réussira cette fois. L’échec ne se répète pas.»

<http://www.youtube.com/watch?v=jOplkA0j2K0>

 

boulogne

 

A Boulogne, années 50. De droite à gauche : Alain, Gauthier, André Malraux, Vincent