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Les principales nouveautés de malraux.org : voir au bas de cette page.
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Vient de paraître
André Malraux, Lettres choisies, 1920-1976, édition établie et annotée par François de Saint-Cheron, préface de Jean-Yves Tadié, Paris, Gallimard, 2012.
Céline Malraux; Madeleine Malraux, Avec une légère intimité : le concert d’une vie au coeur du siècle, Paris, Larousse, 2012, (coll. «Essais et documents»), 255 p.
Malraux et ses harmoniques juives, actes du colloque de l’Université Hébraïque de Jérusalem, 31 octobre – 1er novembre 2010. Perspectives. Revue de l’Université Hébraïque de Jérusalem, n° 19, 2012. Pour consulter le sommaire du numéro 19.
André Malraux : Ecrits farfelus, postface inédite de Jean-Yves Tadié, Paris, Gallimard, 2012, (coll. «Folio anniversaire»), 128 p.
Daniel Froville, Pierre Bockel. L’aumônier de la liberté, Strasbourg, éd. La Nuée bleue, 2012, (coll. «Figures d’Alsace»), 320 p.
Michel Melot, Mirabilia. Essai sur l’Inventaire général du patrimoine culturel, Paris, Gallimard, 2012, (coll. «Bibliothèque des idées»), 288 p.
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Document
Georges Didi-Huberman parle de Malraux et du Musée imaginaire
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Les textes de dix-sept allocutions prononcées par Malraux à l’Assemblée Nationale sont disponibles sur notre site.
Extrait de l’intervention du 27 octobre 1966 (réponse aux critiques parlementaires s’indignant de voir jouer Les Paravents de Jean Genet par le Théâtre de France) :
La liberté, Mesdames, Messieurs, n’a pas toujours les mains propres ; mais quand elle n’a pas les mains propres, avant de la passer par la fenêtre, il faut y regarder à deux fois. Il s’agit d’un théâtre subventionné, dites-vous. Là-dessus, rien à dire. Mais, la lecture qui a été faite à la tribune est celle d’un fragment. Ce fragment n’est pas joué sur la scène, mais dans les coulisses, Il donne, dit-on, le sentiment qu’on est en face d’une pièce antifrançaise. Si nous étions vraiment en face d’une pièce antifrançaise, un problème assez sérieux se poserait. Or, quiconque a lu cette pièce sait très bien qu’elle n’est pas antifrançaise. Elle est antihumaine. Elle est anti-tout. Genet n’est pas plus antifrançais que Goya anti-espagnol. Vous avez l’équivalent de la scène dont vous parlez dans les Caprices. Par conséquent, le véritable problème qui se pose ici – il a d’ailleurs été posé – c’est celui, comme vous l’avez appelé de la « pourriture ». Mais là encore, Mesdames, Messieurs, allons lentement ! Car, avec des citations on peut tout faire :
Alors, ô ma beauté, dites à la vermine qui vous mangera de baisers…
c’est de la pourriture ! «Une charogne», ce n’était pas un titre qui plaisait beaucoup au procureur général, sans parler de Madame Bovary.
Lire la suite : aller à la page de l’intervention du 27 octobre 1966.
Page des «textes d’André Malraux en ligne».
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Art du Gandhara
Tête gréco-bouddhique de Hadda
Musée Guimet / ancienne collection Malraux
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Eté – automne 2012 : nouveautés sur www.malraux.org
Présence d’André Malraux sur la Toile :
- art. 143, septembre 2012 • Odon Vallet : «Le XXIe siècle sera religieux ou ne sera pas» (2002)
- art. 142, juillet 2012 • Françoise Theillou : «Le vieux Viking et le karnaval des animaux» – INEDIT
Texte de Malraux :
«www.malraux.org», site électronique, littéraire, pluridisciplinaire entièrement consacré à l’œuvre d’André Malraux.
Le projet
Constatant que les aspects qualitatifs de l’oeuvre d’André Malraux sont souvent grevés par des considérations touchant l’homme et la politique, entend proposer un regard renouvelé sur cette oeuvre et mettre en lumière les traits qui en fondent la plus grande importance.
Littéraire et universitaire, souligne la vitalité des études malruciennes récentes et propose des informations précises sur Malraux, constamment mises à jour. (–> Projet.)
L’épigraphe
«[…] J’ai le plus grand respect pour le penseur [Malraux]. Il n’est pas le prophète verbeux et nébuleux auquel la doxa contemporaine l’assimile; il a vécu dans le scrupule et la prémonition, en comprenant vite l’essence des religions séculières.»
Le logotype
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