«Les figures du destin dans les romans d’André Malraux», par André Nolat

André Nolat, Les figures du destin dans les romans d’André Malraux, Paris, L’Harmattan, 2014, 215 p.


4e de couverture :

En 1938, Malraux définit ce que signifie pour lui le mot destin : «La conscience qu’a l’homme de ce qui lui est étranger et de ce qui l’entraîne ; du cosmos dans ce qu’il a d’indifférent et dans ce qu’il a de mortel ; l’univers et le temps – la terre et la mort». Ainsi, grâce à des grilles de lectures multiples et, surtout, en répertoriant les mots-clés et en analysant les scènes capitales des romans de Malraux derrière lesquelles se dessinent l’image de la prison, l’auteur s’efforce de cerner le concept de destin tel que le conçoit l’auteur de La condition humaine.

André Nolat, docteur d’Etat (Paris-IV Sorbonne), est un auteur nuancé. En plus de ses travaux sur la littérature classique, il a publié plusieurs livres : une plaquette poétique (Aux marches de la Nuit), deux tomes d’une Libre chronique sentimentale (Les Voyageurs du Petit Jour et Le Jeu de trente cartes), un recueil de nouvelles (Sept récits à l’encre noire) et deux essais : l’un intitulé Romance de la rue : notes sur quatre écrivains : Mac Orlan, Carco, Simonin, Boudard; l’autre, comparatif, nommé Roman Ciné.